nommer

Recherches associées à nommer: se nommer

nommer

v.t. [ lat. nominare ]
1. Pourvoir d'un nom : Ils ne savent comment nommer leur premier enfant appeler, prénommer baptiser, dénommer
2. Désigner par son nom ou son appellation : Elle a nommé toutes les capitales d'Europe citer, énumérer, indiquer
3. Qualifier d'un nom : Le lopin de terre qu'il nomme son jardin qualifier
4. Choisir pour remplir certaines fonctions : Elle a été nommée présidente désigner
5. Instituer en qualité de : Ils ont nommé son oncle tuteur légal.

se nommer

v.pr.
1. Avoir pour nom : Elle se nomme Florence Duval s'appeler
2. Se faire connaître par son nom : La personne qui a téléphoné ne s'est pas nommée.
Maxipoche 2014 © Larousse 2013

nommer


Participe passé: nommé
Gérondif: nommant

Indicatif présent
je nomme
tu nommes
il/elle nomme
nous nommons
vous nommez
ils/elles nomment
Passé simple
je nommai
tu nommas
il/elle nomma
nous nommâmes
vous nommâtes
ils/elles nommèrent
Imparfait
je nommais
tu nommais
il/elle nommait
nous nommions
vous nommiez
ils/elles nommaient
Futur
je nommerai
tu nommeras
il/elle nommera
nous nommerons
vous nommerez
ils/elles nommeront
Conditionnel présent
je nommerais
tu nommerais
il/elle nommerait
nous nommerions
vous nommeriez
ils/elles nommeraient
Subjonctif imparfait
je nommasse
tu nommasses
il/elle nommât
nous nommassions
vous nommassiez
ils/elles nommassent
Subjonctif présent
je nomme
tu nommes
il/elle nomme
nous nommions
vous nommiez
ils/elles nomment
Impératif
nomme (tu)
nommons (nous)
nommez (vous)
Plus-que-parfait
j'avais nommé
tu avais nommé
il/elle avait nommé
nous avions nommé
vous aviez nommé
ils/elles avaient nommé
Futur antérieur
j'aurai nommé
tu auras nommé
il/elle aura nommé
nous aurons nommé
vous aurez nommé
ils/elles auront nommé
Passé composé
j'ai nommé
tu as nommé
il/elle a nommé
nous avons nommé
vous avez nommé
ils/elles ont nommé
Conditionnel passé
j'aurais nommé
tu aurais nommé
il/elle aurait nommé
nous aurions nommé
vous auriez nommé
ils/elles auraient nommé
Passé antérieur
j'eus nommé
tu eus nommé
il/elle eut nommé
nous eûmes nommé
vous eûtes nommé
ils/elles eurent nommé
Subjonctif passé
j'aie nommé
tu aies nommé
il/elle ait nommé
nous ayons nommé
vous ayez nommé
ils/elles aient nommé
Subjonctif plus-que-parfait
j'eusse nommé
tu eusses nommé
il/elle eût nommé
nous eussions nommé
vous eussiez nommé
ils/elles eussent nommé
Collins French Verb Tables © HarperCollins Publishers 2011

NOMMER

(no-mé) v. a.
Distinguer par un nom une personne ou une chose. La chimie a nommé de noms systématiques toutes les substances composées. La famille des malpighiacées a été nommée d'après Malpighi, célèbre naturaliste italien.
Puisse cette grandeur qui vous est destinée, Qu'on nomme si souvent du faux nom de bonheur, Ne point laisser de trouble au fond de votre cœur ! [VOLT., Zaïre, I, 1]
Lorsqu'il s'agit de nommer un animal, ou, ce qui revient presque au même, de lui choisir un nom parmi tous les noms qui lui ont été donnés [BUFF., Ois. t. XII, p. 216]
Être parrain ou marraine.
La jolie chose d'accoucher d'un garçon et de l'avoir fait nommer par la Provence ! [SÉV., 100]
Mme la princesse nommait une des filles de M. le Duc avec le prince [ID., 404]
Et toi, tu aurais cent enfants que je n'en nommerais pas un [DIDER., Père de famille, V, 12]
Dire le nom d'une personne ou d'une chose.
Le reste ne vaut pas l'honneur d'être nommé [CORN., Cinna, V, 1]
Nommez-moi par mon nom, puisque vous le savez [ID., Héracl. III, 2]
Elle [Mme de Chaulnes] vous fait mille amitiés, et vous nomme à tous moments [SÉV., 22 sept. 1687]
Je veux nommer ici par honneur le sage, le docte, le pieux Lamoignon [BOSSUET, le Tellier.]
De votre nom, Joas, je puis donc vous nommer [RAC., Athal. IV, 4]
Oenone : Hippolyte ? grands dieux ! - Phèdre : C'est toi qui l'as nommé [ID., Phèdre, I, 3]
Sénèque : Comment vous nommerai-je à eux ?- Scarron : Scarron [FONT., Dial. des morts anc. et mod. 2e part. 1]
Prononcer le nom de, dire comment une personne, une chose s'appelle.
Vous l'accusiez pourtant quand votre âme alarmée Craignait qu'en expirant ce fils vous eût nommée [CORN., Rodog. V, 4]
Le mot de peste, que vous nommez dans votre lettre, me fait frémir ; je la craindrais fort en Provence [SÉV., 19 mai 1676]
Une personne si sensible, si délicate, qui ne pouvait seulement entendre nommer les maux [BOSSUET, Anne de Gonz.]
On vous nomme, et ce nom la rappelle à la vie [RAC., Bérén. IV, 7]
Le ciel dans tous leurs pleurs ne m'entend point nommer [ID., Brit. IV, 3]
Un nuage enfermait le souverain du monde, Il s'ouvre et laisse voir son front éblouissant ; Un archange est nommé.... l'archange obéissant.... Se prosterne attentif aux ordres du Seigneur [GILBERT, Mort d'Abel, VIII]
Et comment s'y prend-on, sire, pour vous faire douter de l'attachement et de l'amour de vos sujets ? le peuple vous impute-t-il ses malheurs ? vous nomme-t-il dans ses calamités ? [MIRABEAU, Collect. t. I, p. 312]
Nommer ses complices, les déclarer, les faire connaître.
Ah ! si vous ne voulez voir finir nos destins, Nommez d'autres vengeurs ou d'autres assassins [P. CORN., Rod. IV, 1]
Nommer un nom, le prononcer, le faire entendre, parler de la personne.
Elle [Mme Scarron] n'a, m'a-t-elle dit, jamais ouï nommer votre nom en mauvaise part [SÉV., à Bussy, 18 déc. 1673]
Je vous ai déjà dit que votre nom n'a jamais été nommé sur le sujet de M. de Coetlogon [ID., 8 juin 1689]
Désigner les gens par leur nom, faire des personnalités.
Vous nommez les auteurs, et c'est là votre crime [GILBERT, Mon apologie.]
Absolument.
Il a tort, dira l'un ; pourquoi faut-il qu'il nomme ? Attaquer Chapelain ! ah ! c'est un si bon homme ! [BOILEAU, Sat. IX]
Qualifier. Louis XII a été nommé le Père du peuple.
Ah ! que c'est un grand bien [la santé] ! et que vous le nommez précisément par son nom quand vous dites que c'est celui sans lequel tous les autres sont insensibles ! [SÉV., 15 juin 1688]
Saintes filles, ses chères amies, car elle voulait bien vous nommer ainsi [BOSSUET, Reine d'Anglet.]
Souvent il s'entretient avec la mort.... et, aussi vivant par l'esprit qu'il était mourant par le corps, il semble lui demander d'où vient qu'on la nomme cruelle [ID., le Tellier.]
Il [Zozime] nomme ses libéralités profusions, sa modération fainéantise, ses festins d'amitié des dissolutions [FLÉCH., Hist. de Théodose, IV, 75]
Ô mon fils, de ce nom j'ose encor vous nommer [RAC., Athal. IV, 3]
Nommer un roi père du peuple, est moins faire son éloge, que l'appeler par son nom, ou faire sa définition [LA BRUY., X.]
Ils nommaient nécessité l'injustice et la perfidie [MONTESQ., Lett. pers. 146]
Nommer quelqu'un son protecteur, son libérateur, son bienfaiteur, l'appeler ainsi.
Vous que je dois nommer l'ange de mon bonheur [MOL., l'Ét. V, 3]
Absolument.
Il n'y a nuls vices extérieurs et nuls défauts de corps, qui ne soient aperçus par les enfants : ils les saisissent d'une première vue, et ils savent les exprimer par des mots convenables : on ne nomme point plus heureusement [LA BRUY., XI]
Désigner.
La mort entre nous deux nommera le vainqueur [DELILLE, Én. X]
Terme de jeux. Nommer la couleur, dire en quelle couleur on joue.
Nommer quelqu'un à un emploi, à une charge, le choisir, le désigner pour cet emploi, pour cette charge. Il fut nommé maire de sa commune. L'empereur l'a nommé ministre des affaires étrangères.
Il a été nommé à l'évêché de Lodève [SÉV., 14]
Voyez comme il est bon de se tourmenter un peu pour avoir des places : il est certain que celles qui avaient été nommées pour dames d'honneur de cette princesse avaient fait leurs diligences [ID., 17 janv. 1680]
Un jeune abbé de la Broue, qui n'a prêché qu'une seule fois devant le roi, est nommé pour l'évêché de Mirepoix [ID., 27 fév. 1679]
Il [Dieu] l'appelle son serviteur, quoiqu'infidèle, à cause qu'il l'a nommé pour exécuter ses décrets [BOSSUET, Reine d'Anglet.]
Le peuple au champ de Mars nomme ses magistrats ; César nomme les chefs sur la foi des soldats [RAC., Brit. I, 2]
Je vous nommai son gendre et vous donnai sa fille [ID., ib. IV, 2]
Le roi de France nomme à tous les bénéfices consistoriaux de son royaume, c'est-à-dire aux bénéfices qui sont de fondation royale et qui étaient électifs avant le concordat [FEVRET, De l'abus, I, 8, dans RICHELET]
Nommer quelqu'un son héritier, l'instituer son héritier. Nommer d'office, se dit du juge qui, d'après la loi, choisit et nomme des experts, des arbitres, des défenseurs, etc.
Se nommer, v. réfl. Déclarer son nom. Vous serez obligé de vous nommer. Avoir pour nom.
Et quand je vous demande après quel est cet homme, à peine pouvez-vous dire comme il se nomme [MOL., Mis. I, 1]
Je me nomme Pécaudière, ma maison n'est qu'à deux lieues de Landernau [SÉV., 82]
Il se dit aussi des choses.
Par toi l'humilité devint une bassesse ; La candeur se nomma grossièreté, rudesse [BOILEAU, Sat. XI]

HISTORIQUE

  • XIIe s.
    Nomer un terme [fixer un terme] [, Ronc. p. 3]
    Si faisons assembler nostre chevalerie, Si qu'au jour nomé soit aprestée et garnie [, Sax. XXXII]
    Quatorze rois i ot à heure de souper, Evesques et abbés que je ne sai nommer [, ib. XII]
  • XIIIe s.
    À un moine courtois qu'on nommoit Savari [, Berte, 1]
    Et nous li nommiens, et il les faisoit envoier querre [JOINV., 199]
  • XIVe s.
    Car, voir [vraiment], je sui au roi et toute ma maisnie ; Et Bertran du Guesclin me nomme on sans celise [, Guesclin. 17434]
  • XVe s.
    Et dit au clerc : escry moy ce que je te nommeray [dicterai]. Le clerc s'ordonna à escrire ; et puis le duc luy nomma mot à mot tout ainsi qu'il vouloit qu'il escrivist [FROISS., liv. IV, p. 215, dans LACURNE]
    Le roy nomma [adressa] une lettre audit connestable et luy mandoit ce que.... [COMM., IV, 11]
    Cent mille francs [empruntés] cousterent en quatre mois quatorze mille francs d'interests ; mais chascuns disoient que des nommez [certaines gens] avoient part à cest argent et au profit [ID., VII, 4]
  • XVIe s.
    La fortune guette à point nommé le dernier jour de nostre vie [MONT., I, 66]
    Avoir peur de nommer la mort [ID., I, 72]
    Il mourut en un certain lieu qui se nomme la forest fossoyée [AMYOT, Cimon, 7]
    Si fut Cimon es premiers ans de sa jeunesse fort mal nommé, et eut un très mauvais bruit par la ville [ID., ib.]
    Il y eut un nommé Sochares natif du bourg de Decelie, qui... [ID., ib. 13]
    Ilz commencerent à descocher de loing tous ensemble de tous costez, sans viser à point nommé [ID., Crass. 45]
    Ia vefve se peut nommer, durant sa viduité, dame douairiere du lieu et seigneurie qui appartenoit à son mary, sujet au dit douaire [, Coust. génér. t. I, 720]

ÉTYMOLOGIE

  • Berry, noumer ; wallon, loumer ; Hainaut, lomer ; provenç. nomnar ; anc. catal. nomenar ; espagn. nombrar ; portug. nomear ; ital. nominare ; du lat. nominare, dénominatif de nomen, nom.
Émile Littré's Dictionnaire de la langue française © 1872-1877

nommer

NOMMER. v. tr. Donner, imposer un nom. Nommer un enfant au baptême. Son parrain l'a nommé François, Jacques. Il fut le premier qui découvrit cette île, qui rapporta en France cette plante, et il la nomma de son nom. Ce fort fut nommé le Fort-Louis, du nom du roi.

Fam., Être bien nommé, mal nommé, se dit d'une Personne dont le nom propre est un nom significatif qui lui convient ou qui ne lui convient pas.

NOMMÉ s'emploie aussi substantivement. Un nommé Pierre. Le nommé Jacques. Les nommés tels et tels. À qui est cette maison? C'est à un nommé Dubois. Cette manière de parler emporte l'idée que celui qu'on désigne ainsi est un individu sans notoriété, dont on ne connaît que le nom.

NOMMER signifie aussi Donner une qualification, décerner une épithète. Charles V a été nommé le Sage. Louis XII a été nommé le Père du peuple.

Nommer quelqu'un son protecteur, son maître, son bienfaiteur, Le reconnaître comme son protecteur, son maître, son bienfaiteur.

NOMMER signifie aussi Dire le nom d'une personne, d'une chose; dire comment une personne, une chose s'appelle. Si vous voulez, je vous nommerai mon auteur. Je vous nommerai plusieurs personnes. Il y a des choses qu'on ne saurait nommer par leur nom. Comment nommez-vous cet homme? On le nomme Pierre, Jean, Jacques, etc.

Nommer ses complices, Les déclarer, les faire connaître.

NOMMER signifie encore Désigner, choisir pour une fonction, un poste donné. Nommer quelqu'un à un emploi, à une charge, à une dignité. Il a été nommé à l'ambassade de Rome. On dit dans le même sens : Il a été nommé ministre des Affaires étrangères, ambassadeur en Angleterre. Il a été nommé cardinal, évêque. On l'a nommé préfet, sous-préfet. On a nommé des experts, des arbitres.

Évêque nommé, Évêque qui a été nommé par le Pape ou par le gouvernement, mais qui n'a pas encore reçu ses bulles.

Nommer quelqu'un son héritier, L'instituer son héritier.

Nommer d'office se dit du Juge qui, d'après la loi, choisit et nomme des experts, des arbitres, des défenseurs, etc. L'une des parties n'ayant pas nommé d'expert, le tribunal en a nommé un d'office. Cet avocat a été nommé d'office pour défendre l'accusé.

NOMMER se dit aussi pour Élire. Les magistrats de cette république étaient nommés tous les ans par le peuple. À Rome, on nomma des décemvirs pour composer les lois, et des questeurs pour faire juger les crimes publics.

SE NOMMER signifie Déclarer son nom. Vous êtes obligé de vous nommer.

Il signifie aussi, dans un sens passif, Être nommé, avoir pour nom. Comment se nomme- t-il? Quel est son nom? Comment vous nommez- vous? Il se nomme Pierre, Jacques, Paul. Comment se nomme celle place, cette rue?

À POINT NOMMÉ, loc. adv. Exactement au temps qu'il faut, tout à fait à propos. Il arriva à point nommé pour nous rassurer. Vous venez à point nommé pour nous départager.

Dictionnaire de L'Académie française 8th Edition © 1932-5

nommer

Nommer aucun, parler, ou faire mention de luy, Attingere aliquem.

Nommer et bailler nom à aucun, Dicere nomen alicui, Nominare, Denominare, Nomen ei facere.

Nommer et mettre par escrit le nom de ceux qui ont fait quelque chose, Edere aliquos.

Nommer celuy qu'on veut constituer en dignité et pourvoir en quelque estat, Nominare, Prodere.

Nommer et créer aucun dictateur, Dictatorem dicere, Renuntiare.

Nommer par signes, Nutu et significatione appellare.

Nommer quelqu'un sur les sons, Prodere nomen eius qui baptizatur, in lustrali lauacro nuncupare, vel nomine donare.

Estre le premier nommé, Nomenclaturae primatum obtinere. B.

nommer

Nommer, Nomméement, Nomination, Cerchez Nom.

Jean Nicot's Thresor de la langue française © 1606

nommer


NOMMER, ou NOMER, v. act. 1°. Doner, imposer un nom. = L'Ab. Girard trouve entre apeler et nomer cette diférence, qu'on nome pour distinguer dans le discours, et qu'on apelle pour faire venir dans le besoin. "Le Seigneur apela tous les animaux, et les noma devant Adam pour l'instruire de leurs noms: "Il ne faut pas toujours nomer les chôses par leur nom, ni apeler toute sorte de gens à son secours. Synon. — Cette distinction est três-juste, et il est bon de l'observer. Cependant avec le pronom personel, on dit plutôt s' apeler que se nomer, quoiqu'on puisse dire aussi celui-ci. "Comment s'apelle-t-il? Quel est son nom? Comment vous apelez-vous? Je m'apelle comme je m'apelle.. "Des deux célèbres Rousseaux, le Poète s'apelait ou se nomait Jean- Baptiste, et le Philosophe Jean-Jaques. = Nomer et apeler régissent les noms sans article. Rousseau dit dans son Ode à la Fortune:
   Le peuple, dans ton moindre ouvrage,
   Admirant la prospérité,
   Te nomme grandeur de courage,
   Valeur, prudence, fermeté.
Le Poète aurait pu dire aussi t'apelle; mais te nomme était plus propre, plus coulant et plus poétique. — Louis a été nomé le Père du Peuple. Là l' article est nécessaire, parce qu'il fait partie du nom.
   2°. Nomer, choisir quelqu'un pour une charge, un emploi. Il a pour second régime le datif. "Nomer à un bénéfice un indigne.
   À~ point nommé, adv. Au tems qu' il faut. "Vous venez à point nomé. = À~ jour nomé, au jour, dont on était convenu. "Il se trouva au rendez-vous à jour nomé.

Jean-François Féraud's Dictionaire critique de la langue française © 1787-1788
Synonymes et Contraires

nommer

verbe nommer
1.  Désigner par le nom.
2.  Dénoncer quelqu'un.
3.  Donner un nom à quelqu'un.
4.  Qualifier d'un nom.

nommer (se)

verbe pronominal nommer (se)
Avoir pour nom.
Le Grand Dictionnaire des Synonymes et Contraires © Larousse 2004
Traductions

nommer

benennen, ernennen, heißen, nennen, vozieren, einstellenname, appoint, call, nominate, designate, dub, label, termbenoemen, noemen, heten, aanstellen, uitmakenvoor, opnoemen, uitmaken voorמינה (פיעל), נקב בשם, קרא בשם, מִנָּהbenaam, benoem, noemjmenovatkalde, udnævnenomillamar, nombrar, nominar, designarnefnanominare, chiamarekalle, peke utnazwać, wynmienić, wyznaczyćnomear, chamar, denominar, designarназвать, называть, назначатьbenämna, heta, kalla, utseκατονομάζω, ονομάζω, διορίζωيُعَيِّـنُnimittääpostaviti任命する임명하다แต่งตั้งatamakbổ nhiệm任命назначава (nɔme)
verbe transitif
1. donner un nom à Comment ont-ils nommé leur fille ?
2. désigner, choisir qqn pour une fonction nommer qqn président
Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.

nommer

[nɔme] vt
(= baptiser) [+ enfant] → to name, to call; [+ chose] → to call
Ils l'ont nommé Philippe → They named him Philippe., They called him Philippe.
On a nommé le nouvel élément lexiconium → The new element has been called lexiconium.
La nouvelle société a été nommée Medialex → The new company is called Medialex.
(= mentionner) → to name
Il n'a voulu nommer personne → He didn't want to name anybody.
(= élire) → to appoint
Il a été nommé directeur → He was appointed director. [nɔme] vpr/vi → to be called
Il se nomme Pascal → His name's Pascal., He's called Pascal.
nom propre nmproper noun
Collins English/French Electronic Resource. © HarperCollins Publishers 2005