le

1. le, la

art. déf. [ du lat. ille, illa, ce, cette ] [les].
1. Détermine un groupe nominal dont il indique le genre et le nombre : La présentatrice du journal télévisé. Les livres que vous cherchez sont dans la réserve ces livres-là
2. Avec un nombre cardinal, indique une date précise : La réunion aura lieu le 20. Je l'ai rencontré le 15. Nous sommes le 12.
3. Devant un nom de mesure, prend le sens de chaque : Vingt euros le kilo.
4. Devant un nom ne comportant pas d'autre indication, indique que l'on considère tous les êtres, toutes les choses désignés : Le pigeon est granivore tout pigeon

2. le, la

pron. pers. [ du lat. ille, celui-là ] [les].
En fonction de complément d'objet direct, désigne la personne, la chose que l'on vient de nommer : Nous la connaissons nous connaissons cette femme ce chien ces objets-là
Maxipoche 2014 © Larousse 2013

le

LE. art. défini masc. (fém : LA. Devant une voyelle ou une h muette : L'. Pluriel des deux genres : LES.) Sur les formes contractées Au, Aux, Du, Des, Voyez À, DE. Il se met généralement devant les noms communs, quand ils ne sont pas précédés d'un autre déterminatif, tel que l'adjectif possessif ou l'adjectif démonstratif, qu'ils soient pris dans un sens général ou dans un sens particulier. Je trouve intéressants les livres que vous m'avez prêtés. Il aime les livres. La justice de ce prince est restée célèbre. Il faut pratiquer la justice. Anciennement, on aurait dit : Il aime livres; il faut pratiquer justice, comme on dit encore dans les proverbes : Noblesse oblige, Contentement passe richesse, Souvent femme varie.

Toutefois, l'article s'omet encore devant des noms compléments d'objet, dans des locutions toutes faites, comme : Rendre justice, Perdre pied, Reprendre haleine, Demander pardon, et aussi devant des noms compléments avec préposition : Lutter de vitesse, Aller à pied, Boîte à lait, Table de marbre.

Il s'omet encore devant deux noms unis par et, formant une locution : Remuer ciel et terre, Être couvert de même, hiver et été, Travailler nuit et jour; Lorsqu'un nom est accompagné de deux adjectifs unis par et, on dit aussi bien : L'histoire ancienne et moderne que L'histoire ancienne et la moderne; dans les énumérations : Femmes, moines, vieillards, tout était descendu; devant les noms désignant des choses uniques de leur espèce : Il viendra dimanche, lundi; Avril a été beau cette année; devant les mots mis en apostrophe : Amis, il faut partir. On dit toutefois familièrement : Il faut partir, les amis.

Avec les noms propres, l'article se trouve dans beaucoup de noms géographiques, comme le Japon, la France, le Danemark, le Tibre, le Rhône; devant des noms de famille d'origine italienne, le Tasse, l'Arioste, et des noms désignant des familles princières : les Bourbons, les Stuarts; devant des noms de cantatrices célèbres : la Malibran, la Patti. On dit aussi familièrement et quelquefois avec dénigrement : la Julie, la Louise.

Parfois l'article a une valeur particulière : démonstrative, dans à l'instant, exclamative dans : Le bel enfant!

le

LE. pron. pers. masc. (fém. : LA. Devant une voyelle ou une h muette : L'. Pluriel des deux genres : LES.) Il sert, comme complément d'objet direct ou attribut, à rappeler un être ou une chose dont il a été question. Il se place devant le verbe dont il est complément ou attribut, sauf quand ce verbe est à l'impératif présent. Voilà un bon livre, je vous engage à le lire. Dès que ma soeur sera arrivée, j'irai la voir. Il avait mille francs, et il les a dépensés. Vous avez mon chapeau, rendez-le-moi. Ces livres sont dérangés, mettez- les chacun à sa place. Je me regarde comme la mère de cet enfant; je la suis de coeur, je la suis par ma tendresse pour lui.

Quand LE fait partie d'une locution composée d'un verbe à un mode personnel, et d'un infinitif, il se place entre le verbe et l'infinitif s'il est complément de l'infinitif : Je vais le chercher. Si, au contraire, LE est le complément du premier verbe, il se place entre le sujet et le verbe : Nous le voyons venir.

LE s'emploie aussi comme pronom neutre invariable quand il rappelle un adjectif ou une proposition déjà exprimés. Cette femme est belle et le sera longtemps. Je n'ai pas été enrhumé de l'hiver, et je le suis depuis les chaleurs. Nous devons défendre l'honneur et l'intérêt de nos parents, quand nous le pouvons sans injustice. Il a vécu plus longtemps qu'on ne l'aurait cru. La présence de LE dans ce cas n'est pas toujours obligatoire. As-tu raison? Je ne sais. Je ne serais pas venu si j'avais su. Vous voudriez, j'imagine, être à ma place.

Il peut servir encore à annoncer une proposition qui suit. Tu l'as vu, comme il m'a traité.

Uni à certains verbes, il sert à indiquer un sens plus ou moins distinct, plus ou moins différent de celui du verbe seul. L'emporter. Le céder. Le disputer. Voyez ces mots.

LÉ. n. m. Largeur d'une étoffe entre ses deux lisières. Un lé de velours, de taffetas, de toile. Draps de lit de deux lés.
Dictionnaire de L'Académie française 8th Edition © 1932-5

le

Le, Est l'article masculin, et denote les dictions ausquelles il est preposé estre masculines, comme le cheval. Les Grecs le rendent mieux que les Latins ho hippos. Il y en a qui veulent que Lé signifie largeur, latitude, comme, Le lé du drap, Panni latitudo. Mais en cette signification on l'escrit Lai.

Il a le lé de deux aulnes, Latus est duas vlnas.

D'un lé et d'autre, id est, ab vtroque latere.

Des deux lés, Vtrinque.

Un drap de deux lés.

Du long et du lé.

Jean Nicot's Thresor de la langue française © 1606

le


LE, article masc. et pronom. [e muet: les gascons le prononcent comme s'il était fermé: lé roi: c'est une faûte grossière et fort comune dans les Provinces méridionales.] La déclinaison de le article est: le, du, au, le, du. Plur. les, des, aux, les, des. Devant une voyèle ou une h muette, l'e s'élide, et il se décline alors l', de l', à l'; l', de l': l'amour; de l'amour, l'homme, à l'homme, etc.
   1°. Quand il est pronom, il doit toujours suivre les pronoms personels et non pas les précéder. La Poésie même n'autorise pas à transposer ces pronoms. On doit dire, p. ex. vous vous le figurez; je vous le donerai, et non pas je le vous donerai; vous le vous figurez. Malherbe avait coutume de les transposer de la sorte: "Nous le vous amenons; je le vous dis en prôse, pour; nous vous l'amenons, je vous le dis. Balzac le fait encôre plus souvent, qui le vous confirme, etc. de le vous dire, etc. Vaugelas improuvait cette construction, La Mothe le Vayer la trouvait fort bonne; mais dès le tems de Ménage elle avait vieilli; et il assûre que ceux, qui écrivaient avec délicatesse, ne s'en servaient plus. Le P. de Neuville a pourtant dit encôre, représentez-le vous, etc. Il a voulu éviter de dire, représentez-vous le, qui est dur: mais l'un ne vaut pas mieux que l'aûtre. Il devait prendre un aûtre tour, ou substituer le nom au pronom: "Représentez-vous cet enfant chéri entre les brâs d'une mère vertueûse, etc. Serm. sur l'Éducation. = Exceptez le pron. pers. de la 3e. pers. lui, leur, qui doit suivre le. Ce serait mal parler que de dire, je lui le donerai: il faut dire, je le lui donerai. = Plusieurs, dit Vaugelas, retranchent ce pron. relatif le dans ces ocasions; et disent, il faut que je lui fasse voir, au lieu de: il faut que je le lui fasse voir. Amiot le dit toujours de même, pour éviter la cacophonie de le lui, le leur, ce qui n'est pas une raison suffisante pour laisser un mot si nécessaire. Que si l'on veut éviter la rudesse de ces deux mots mis ensemble, il faut, dit Th. Corneille, prendre un aûtre tour, ce qui est quelquefois assez difficile pour écrire naturellement. = Malherbe a dit aussi:
   Que ce qu'elle est à cette heure,
   Elle soit jusqu'à la mort.
Il faut, pour parler correctement, dire, elle le soit. Nos anciens, dit Ménage, auroient dit, el'le soit = Madame de Sévigné a dit encôre. Demandez-lui, pour, demandez-le lui. — Depuis quelque tems cet ancien usage a repris faveur, mais seulement dans le style familier. "Cela est cruel sans doute, et je lui ai dit cent fois. Marm. Je le lui ai dit, etc. "Vous croyez? — Oui je le crois. Id. Vous le croyez?
   Les belles tous les jours vous trompent: on leur rend.       Gresset.
On le leur rend.
Je ne suis point ingrate et je lui rendrai bien.Id.
Je le lui rendrai. "Sa santé ne lui ayant pas permis. Henaut. Ne le lui ayant pas permis. — Cela peut être bon dans le discours familier: encôre l'afectation de le dire toujours de la sorte peut paraître avoir quelque chôse de précieux. Mais dans le haut style cela n'est pas pardonable. Racine avait dit dans les Frères Ennemis, Tragédie par où il débuta, et qu'il ne revit plus.
   Il veut que je vous voie, et vous ne voulez pas.
Pour, vous ne le voulez vous pas. La vivacité de la Poésie, dit avec raison son fils, rend cette faûte excusable.
   2°. Il ne faut pas trop éloigner le pronom le du substantif, auquel il se raporte. Boileau a fait cette faûte dans son Lutrin.
   Ce spectacle n'est pas, pour amuser nos yeux,
   Dit-il, le temps est cher; portons le dans le temple.
   Lui-même se courbant, s'aprête à le rouler...
Ces deux le se raportent à Lutrin, qui est quatre vers plus haut. Cela n'est pas régulier. = Racine a fait la même faute dans Britannicus.
   Vos jours, toujours sereins, coulent dans les plaisirs.
   L'Empire en est pour vous l'inépuisable source,
   Ou, si quelque chagrin en interrompt la course,
   Tout l'Univers soigneux de les entretenir,
   S'empresse à l'effacer de votre souvenir.
Les est beaucoup trop éloigné de plaisirs et le de chagrin. = Et dans Bajazet.
   Hélas, je cherche envain, rien ne s'offre à ma vûe:
   Malheureûse, comment puis-je l' avoir perdûe.
Trois vers après, on voit qu'il est question d'une lettre, qui avoit été perdûe. L'éloignement du pronom relatif est d'autant plus irrégulier dans cette ocasion, qu'il ocasione une équivoque, et qu'on peut raporter à vûe, qui précède immédiatement l'expression, l'avoir perdûe.
   3°. Le pronom, supléant pour le nom, ne devrait point paraître dans une phrâse où le nom même est employé. Il y parait pourtant régulièrement, et il done la facilité au régime de précéder le verbe. "Ce coeur, que toute la France auroit aujourd'hui droit de nous envier; ce coeur, si digne de Dieu, il a voulu que nous le possédassions, et que nous en fussions les dépositaires. Bourdal. Or. Fun. de Louis de Condé. "Les remontrances les plus justes et les plus respectueûses, l'adulation les travestit en une témérité punissable. Massill. "L'apareil des éloges est doné à l'usage et à la vanité: l'admiration secrette et les louanges~ réelles, on ne les done qu'à la vertu et à la vérité. Id. Ce tour est très-familier au P. de Neuville, et il est plus du haut style que de la conversation. Cependant on peut quelquefois l'employer dans le discours familier. "Ce qu'elle me disait, je crus l'aprendre encôre en l' entendant raconter par elle-même. Mariv. "Le cachot qu'on me promet, empêchez qu'on ne me le tienne. Id.
   4°. On ne doit point mettre le, le, la, après des mots, qui sont employés indéfinement. Les phrâses suivantes sont condamnables pour cette raison. "Vous avez droit de chasse, et je le trouve bien fondé. "Le Roi lui a fait grâce, et il l'a reçue, allant au suplice. "J'ai raison de me plaindre, et vous ne l'avez pas de m'accuser. Pour réformer ces phrâses, il faut joindre au nom ainsi employé indéfiniment un article, ou répéter ce nom au 2d membre de la phrâse, ou prendre un aûtre tour. Ainsi, on dira: vous avez un ancien droit de chasse, et je le trouve bien fondé. "Le Roi lui a acordé sa grâce, et il l'a reçue, etc. ou bien, vous avez droit de chasse, et je trouve ce droit bien fondé. Le Roi lui a fait grâce, et il a reçu sa grâce allant au suplice. Pour la 3e phrâse, on peut la réformer en mettant en au lieu de la: j'ai raison de me plaindre, et vous n'en avez pas de m'accuser. = Le P. Bouhours excepte de la loi générale la phrâse suivante; si vous ne me faites pas justice, je me la ferai moi-même. Par là il saûve ce vers de Racine.
   Quand je me fais justice, il faut qu'on se la fasse.
       Mithridate.
Je consens, dit l'Ab. d'Olivet, que cette phrâse, à force de revenir souvent dans la conversation, ait acquis le droit de ne paraître pas irrégulière. Mais elle ne laisse pas de l'être, surtout dans le style soutenu. Faire grâce, dit Bouhours ne saurait être suivi d'un pronom. Faire justice est dans le même câs. Tenons-nous-en à ce principe, qui est ce qu'il y a de plus sûr.
   5°. LE, est relatif ou d'un seul mot, ou d'une phrâse entière, et c'est ce qui peut occasioner de l'embarras, de l'équivoque ou du contre-sens dans le discours. Fontenelle fait dire à l'Astrologue Anselme. "Le grand leurre des hommes, c'est l'avenir; et nous aûtres Astrologues, nous le savons mieux que persone. Ce le peut signifier deux chôses: nous aûtres Astrologues, nous savons l'avenir, mieux que persone; ou bien, nous savons, mieux que persone, que le grand leurre des hommes c'est l'avenir. En lisant ce morceau, il n'est pas aisé de deviner lequel de ces deux sens l'Auteur a eu en vûe.
   6°. Le pronom le ne se met après le verbe qu'à l'impératif: Traitez-le bien. Dans tous les autres modes, et quand le verbe à l'impératif est acompagné de la particule négative, le doit précéder. "Vous l'aimez: "Ne le grondez pas.
   7°. Quand deux verbes consécutifs régissent le pron. le, il faut le répéter. Ainsi ce serait pécher contre les règles que de dire: je veux le revoir et augmenter (en parlant d'un livre) il faut dire: le revoir et l'augmenter.
   8°. Le pron. le est indéclinable, quand il se raporte à des adjectifs. Ainsi une femme dira: j'étais malade, et je le suis encôre, et non pas la suis. On dira au pluriel: nous étions contens, et nous le sommes encôre, et non pas les sommes. Madame de Sévigné n'était pas de cette opinion, et elle répondit à Ménage, qui lui citait la Règle; "Je croirois avoir de la barbe au menton, si je disois, je le suis. Cependant elle l' observait, sans s'en douter, du moins pour le pluriel. "Les gazettes en sont pleines; mais comme nous le sommes aussi... cela se trouve naturellement au bout de la plume. = C'est tout le contraire, quand le se raporte à un substantif; car alors il se décline, et change de genre et de nombre. "Êtes-vous Madame une telle? — Oui je la suis. Sont-ce là vos enfans? — Oui, ce les sont, et non pas le sont. Restaut. = Que si le substantif est employé adjectivement, il suit la règle des adjectifs. "Je veux être mère, parce que je le suis. Mol. Si l'Auteur avait dit en parlant de ses enfans, je veux être leur mère, il falait dire, parce que je la suis.
   9°. Regnier des Marais dit, que la particule (le pronom) le a comme les autres particules relatives, la force de changer les temps des verbes, et les verbes mêmes, auxquels elle se raporte, et à la place desquels on la substitûe. Il cite en exemples ces phrâses qu'il aprouve. "Je le traiterai comme il mérite de l'être. "Il ne faut pas condamner après leur mort, ceux qui ne l'ont pas été pendant leur vie; dans lesquelles phrâses, le, qui se raporte à un futur, ou à un infinitif, suplée pour un participe passif, comme il mérite d'être traité; qui n'ont pas été condamnés, etc. J'ai vu bien des persones, qui ne pouvaient soufrir ces phrâses, et qui soutenaient qu'il falait dire: je le traiterai, comme il mérite d'être traité. Cela est plus régulier sans doute, surtout dans le discours soutenu: mais en conversation on se sert sans dificulté des phrâses citées et aûtres semblables.
   10°. LE, devant plus, moins, mieux, ne prend ni genre, ni nombre: I. Quand avec ces adverbes, il forme un superlatif adverbe. "C'est la chôse que j'aime le plus, et non pas, la plus. "Ce sont les biens, que je désire le moins, et non pas les moins. Nous devons parler le plus sagement, et nous énoncer le plus clairement qu'il est possible. GIR. Wailly. II. Le, est indéclinable, même quand ces adverbes de quantité sont suivis d'un adjectif, lorsqu'ils n'emportent pas proprement de comparaison. "Nous ne pleurons pas toujours, lorsque nous sommes le plus afligés. Dans cet exemple, on ne veut point comparer son afliction à celle de quelques aûtres persones: mais on dira: "la Dame, qui pleure moins que les aûtres, n'est pas la moins afligée. Dans cette dernière phrâse, le superlatif emporte comparaison: le doit donc prendre le genre et le nombre du substantif. Wailly.
   II°. Dans le jargon précieux moderne, on dit le pour cela. "Savez-vous pourquoi elle s'est décidée à vous voir? Pour vous étudier et vous connoître. — Ah! m'étudier! Je le trouve charmant. T. d'Éduc.


, s. m. [é fer.] La largeur d'une toile, d'une étofe entre ses deux lisières. "Un lé de damas, de velours. "Il y a deux lés à ces draps; quatre ou cinq lés à ce jupon, à cette tapisserie.

Jean-François Féraud's Dictionaire critique de la langue française © 1787-1788
Traductions

le

()

la

(la)

les

(le)
article
mot qui désigne une personne ou une choseconnue le fils de mon voisin la rue les hommes

le

()

la

(la)

les

der, das, die, es, ihn, sie, abwärts, de, fressen, herunter, tölten, zeichnenthe, him, it, herde, hem, het, 'm, 't, de,, d’r, haarהֶ, הַ-, הָ-, הַ-, הָ-, הֶ, הlael, la, las, lo, losa, azo, a, as, os, o, osden, det, henne, honomil, il, lo, la, i, gli, le...ال, ال...ten, todenο, τοmääräinen artikkelitajその, 一般的な物について話すときに使われる그, 일반적인 것denrodzajnik określony, nie tłumaczy się na język polskiэтотคำนำหน้านามชี้เฉพาะ, สิ่งนั้นn/a, no translationđó, này用于名词前表示代指同一类事物, на (le)
pronom personnel
mot qui représente une personne ou unechose Je le vois, là-bas. Il les a invités.
Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.

le

[l la] [l'] (devant un nom commençant par une voyelle ou un h muet) [les] (pl)
art déf
→ the
le livre → the book
la pomme → the apple
l'arbre → the tree
l'actrice → the actress
l'herbe → the grass
l'hélicoptère → the helicopter
les étudiants → the students
les étudiantes → the students
(devant un nom non comptable)
l'amour → love
le courage → courage
la jeunesse → youth
Je déteste la violence → I hate violence.
(devant une partie du corps) se casser la jambe → to break one's leg
se laver le visage → to wash one's face
Évitez de vous laver le visage avec du savon → Avoid washing your face with soap.
levez la main → put your hand up
avoir les yeux gris → to have grey eyes
avoir le nez rouge → to have a red nose
(moment, date) le matin → in the morning
le soir → in the evening
le jeudi (d'habitude) → on Thursdays (= ce jeudi-là) → on Thursday
Nous venons le 3 décembre → We're coming on 3 December.
Il est arrivé le douze mai → He arrived on 12 May.
10 euros le mètre → 10 euros a metre
10 euros le kilo → 10 euros a kilo
(fraction) le tiers de → a third of
le quart de → a quarter of
pron
(masculin) → him; (féminin) → her; (pluriel) → them
Je le vois → I can see him.
Je la vois → I can see her.
Je les vois → I can see them.
Daniel est un vieil ami: je le connais depuis plus de vingt ans → Daniel is an old friend: I've known him for over 20 years.
C'est une femme intelligente: je l'admire beaucoup → She's an intelligent woman: I admire her very much.
La chatte miaule, je vais la nourrir → The cat's miaowing, I'll go and feed her.
Je les envie → I envy them.
(chose, abstraction, animal dont on ignore le sexe, singulier) → it; (pluriel) → them
C'est une bonne émission: je la regarde toutes les semaines → It's a good programme: I watch it every week.
Où est mon stylo? Je ne le trouve plus → Where's my pen? I can't find it.
"Où est le fromage?" - - "Je l'ai mis au frigo." → "Where's the cheese?" - - "I've put it in the fridge."
Un lézard! Je vais le prendre en photo → A lizard! I'll take a photo of it.
Tes lunettes? Je les vois → Your glasses? I can see them.
Je ne le savais pas → I didn't know.
Il était riche et ne l'est plus → He was once rich but no longer is.
Collins English/French Electronic Resource. © HarperCollins Publishers 2005
Collins Multilingual Translator © HarperCollins Publishers 2009