arbre

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arbre

n.m. [ lat. arbor ]
1. Grande plante ligneuse dont la tige, ou tronc, fixée au sol par des racines, n'est chargée de branches et de feuilles qu'à partir d'une certaine hauteur : Des arbres ornementaux, fruitiers. Les arbres abattus par la tempête.
2. En mécanique, axe qui transmet un mouvement ou le transforme : Arbre à cames.
Arbre à palabres,
en Afrique, arbre sous lequel se réunissent les anciens du village.
Arbre généalogique,
graphique en forme d'arbre dont les ramifications représentent la filiation des membres d'une famille.
Maxipoche 2014 © Larousse 2013

ARBRE

(ar-br') s. m.
Grand végétal ligneux, et, dans le langage spécial de la botanique, végétal dont le tronc ligneux s'élève à plus de six mètres.
Le troisième tomba d'un arbre Que lui-même il voulut enter [LA FONT., Fabl. XI, 8]
On peut comparer les empires à un arbre dont les branches trop étendues ôtent tout le suc du tronc et ne servent qu'à faire de l'ombrage [MONTESQ., Lettres pers. 121]
Arbres verts, se dit particulièrement de ceux qui conservent leurs feuilles en hiver, tels que le sapin, l'yeuse, le houx. Fig.
La source est à chercher plutôt que les ruisseaux ; Il faut s'en prendre à l'arbre et non pas aux rameaux [TRISTAN, M. de Chrispe, IV, 11]
Le ciel même peut-il réparer les ruines De cet arbre séché jusque dans ses racines ? [RAC., Ath. I, 1]
Voyons s'il s'en est fallu beaucoup, qu'il n'ait renversé ce grand arbre de la maison d'Autriche [VOIT., Lett. 74]
Fig. et familièrement. Se tenir au gros de l'arbre, s'attacher au parti le plus fort, s'appuyer sur ce qui semble le plus solide et le plus sûr.
L'arbre de la croix, la croix où fut attaché Jésus. Arbre de la science du bien et du mal, arbre qui était au milieu du paradis terrestre, et auquel Dieu avait défendu de toucher sous peine de mort. Arbre de vie, arbre qui était au milieu du paradis terrestre, et dont le fruit avait la vertu de conserver la vie à l'homme, si l'homme eût conservé son innocence.
Axe ou principale pièce d'une roue ou d'une machine.
On leur [aux nègres] fait tourner à bras l'arbre des moulins à sucre [VOLT., Mœurs, 152]
Axe de bois ou de métal. Arbre d'un volant de pendule. Arbre d'une balance, la verge de fer à laquelle est suspendu le fléau. Terme d'horloger. Petit morceau d'acier qui passe au travers du barillet de la montre, et qui sert à bander le ressort. Dans les horloges, il y a l'arbre de la grande roue, qui porte les poids, l'arbre du grand ressort, l'arbre de la fusée.
En termes de marine, mât. L'arbre de meistre, le grand mât d'un bâtiment à voiles latines. L'arbre de trinquet, le mât de misaine.
Arbre de généalogie, grande ligne, au milieu de la table généalogique, qui se divise en d'autres petites lignes qu'on nomme branches, et qui marquent tous les descendants de quelque famille.
Arbre fourchu, position dans laquelle on se tient sur ses mains, la tête en bas et les pieds en haut. Faire l'arbre fourchu. Arbre fourchu, terme de poésie française ancienne, sorte de poëme français où de très petits vers s'entremêlaient régulièrement à de plus grands, de manière à former un tronc et des branches horizontales.
Arbre encyclopédique, tableau de l'enchaînement systématique des sciences.
Dans le blason, arbre fusté, arbre dont le tronc et les branches ne sont pas du même émail ; arbre englanté, celui dont l'émail du fruit est différent aussi. Meuble d'armoiries dont l'émail le plus fréquent est le sinople. L'arbre paraît sur l'écu en pal, les racines resserrées.
En termes d'eaux et forêts, arbres de lisière, ceux qu'on laisse dans une coupe pour en borner l'étendue. Arbres de laye, ceux que l'on laisse pour repeupler la forêt.
10° En termes de chimie, arbre de Diane, amalgame d'argent (Diane étant, dans le langage des alchimistes, le surnom de l'argent) qui se dispose en petites aiguilles prismatiques groupées de manière à représenter un arbrisseau. Arbre de fer ou de Mars, végétation métallique qui se forme lorsqu'on met un fragment d'un sel dans la liqueur des cailloux. Arbre de Jupiter, nom donné à la végétation métallique qu'on obtient en précipitant l'étain par le zinc. Arbre de Saturne, cristallisation que l'on produit avec une lame de zinc plongée dans l'acétate de plomb. Dans l'alchimie, arbre des philosophes se dit du mercure, et quelquefois de la pierre philosophale.
11° En anatomie, arbre de vie, disposition que présentent les prolongements de la substance médullaire dans les lobes du cervelet.
12° Dans le jardinage, arbre en colonne (voy. COLONNE), arbre en buisson ou cépée (voy. BUISSON), arbre en cordon (voy. CORDON), arbre en oblique (voy. OBLIQUE), arbre en palmette (voy. PALMETTE), arbre à palmettes doubles ou à deux tiges ou en u (voy. PALMETTE DOUBLE), arbre à quenouille (voy. QUENOUILLE), arbre en vase ou gobelet (voy. VASE), arbre en plein-vent ou haute tige ou de plein vent ou de haut vent (voy. VENT).
13° Nom de différents végétaux. Arbre aveuglant, arbre de la famille des euphorbiacées, dont le suc âpre et laiteux cause des ophtalmies dangereuses, s'il tombe sur la conjonctive. Arbre au corail, nom donné à deux plantes de la famille des légumineuses, dont l'une a des graines du poids de 212 milligrammes assez constant pour qu'elles servent d'unité de poids dans l'Inde à l'effet de peser l'or et les pierres précieuses. Arbre à la glu, un des noms vulgaires du houx, dont l'écorce moyenne sert à faire la meilleure glu. Arbre aux grives, nom vulgaire du poirier des oiseleurs ou sorbier des oiseaux. Arbre à l'huile du Japon, arbre de la famille des euphorbiacées, dont le fruit, ordinairement à 4 loges, renferme autant de graines dont l'huile est employée pour l'éclairage. Arbre de Judée, nom vulgaire du gaînier commun ; c'est à tort que certains auteurs lui donnent le nom de bois de Judée ; il porte des fleurs rouges très jolies. Arbre à pain ou jaquier, dont le fruit pulpeux amylacé se cuit et se mange comme du pain dans les îles de l'Océanie et aux Antilles. Arbre saint, un des noms vulgaires de la Mélie Azédarach, probablement parce que les noyaux de ses fruits sont employés à faire des chapelets, d'où elle est aussi appelée arbre à chapelet. Arbre de Sainte-Lucie, nom donné au cerisier Mahaleb (rosacées), parce qu'il est commun aux environs du village de Sainte-Lucie, département de la Meuse ; il est aussi appelé bois de Sainte-Lucie. Arbre à suif de la Chine, naturalisé dans la Caroline du Sud. Les semences, indépendamment de l'huile qu'elles contiennent à l'intérieur, sont couvertes d'une substance sébacée blanche qu'on exploite pour la fabrication des chandelles. Arbre à la vache, nom du Galactodendron utile de la Colombie, fournissant un liquide blanc qui se boit comme du lait. Arbre au vermillon. Dans quelques localités de la France et de l'Italie, on donne ce nom vulgaire au chêne coccifère ou chêne Kermès.

PROVERBE

    Entre l'arbre et l'écorce, il ne faut pas mettre le doigt ; c'est-à-dire qu'il ne faut pas se mêler des débats de famille.

REMARQUE

  • La prononciation populaire abre est condamnée par Vaugelas, qui remarque qu'elle était commune. Arbre, venant de arbor, s. f. a été quelquefois fait du féminin dans les anciens textes.

HISTORIQUE

  • XIe s.
    Haut sont li pui et mout haut sont les arbres [, Ch. de Rol. CLXVI]
    Va, les pend tous à l'arbre de mal fust [, ib. CCXC]
  • XIIe s.
    Lors s'est assis sous l'aubre qui verdie [, Ronc. p. 154]
    A la fenestre est venue au jor cler ; Voit sor ces haubres ces oisellons chanter [, Raoul de C. 242]
  • XIIIe s.
    Et se l'arbre i [au moulin] faut metre.... [TAILLIAR, Recueil, p. 452]
    Lors [elle] s'assiet sous un arbre, car li cuers li douloit [, Berte, XXVIII]
    Li aubre despoillent lor branches [RUTEB., 211]
  • XVIe s.
    De sa lance rumpoyt ung huys, aculoyt une arbre [RAB., Gar. I, 23]
    L'enorme meurtre que y avoit faict Gargantua avecques son grand arbre [ID., ib. I, 44]
    Tous les arbres, arbustes et frutices des foretz [ID., Pant. II, 8]
    Comme arbre novellement plantée les fault appuyer [ID., ib. III, 1]
    Pantagruel, par l'adviz du pilot, tenoyt l'arbre [le mât] fort et ferme [ID., ib. IV, 19]
    À ceste heure fays bien à poinct l'arbre fourchu, les piedz à mont, la teste en bas [ID., ib.]
    Toute arbre que son Pere n'a plantée sera arrachée [CALV., Inst. 217]
    Ils apperçurent un homme au faite de l'arbre, [mât] sur l'antenne [CARL., I, 11]
    L'arbre mis au dedans du grand ressort pour le tendre [PARÉ, XVII, 12]

ÉTYMOLOGIE

  • Bourguig. génev. et picard, abre ; Berry, âbre, âbe ; provenç. arbre, albre, aybre ; espag. albol ; portug. arvore ; ital albero ; du latin arbor ; zend, urvara, arbre ; sanscrit, urvarà, terre fertile ; allem. urbar, fertile ; celtique, arbara, plante à grain. Dans tous ces mots se trouve un radical arb ou urb, exprimant ce qui pousse, ce qui est fécond.

SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

    ARBRE. Ajoutez :
    14°
    Arbre de vent, nom populaire des cirrus, qui annoncent presque toujours un changement de temps [, Journ. offic. 20 sept. 1873, p. 5976, 2e col.]
  • Arbre des Machabées, même sens.
    M. Taine m'apprend qu'en France, depuis les Ardennes jusqu'en Bourgogne, les paysans donnent au même phénomène le nom d'arbre des Machabées, à cause des sept branches qu'ils lui attribuent.... [F. BAUDRY, les Mythes du feu et du breuvage céleste, dans Rev. germanique, t. XIV, p. 376]
  • HISTORIQUE

    • Ajoutez.
    • XIVe s.
      La terre porte herbes vers Et les herbres de fruit couvers [MACÉ, Traduction de la Bible, f° 1, verso, 2e col.]
      Une arbre bestournée [un arbre planté les racines en haut et les branches en bas] [, Revue critique, 5e année, 2e série, p. 328 (dans un texte anglo-normand)]
Émile Littré's Dictionnaire de la langue française © 1872-1877

arbre

ARBRE. n. m. Végétal ligneux dont la tige, plus ou moins élevée, ne se garnit ordinairement de branches et de feuilles qu'à une certaine hauteur. Grand arbre. Bel arbre. Arbre haut et droit. Arbre branchu, touffu. Arbre mort. Arbre qui se dépouille. Arbre qui repousse. Arbre qui fleurit. Planter, transplanter des arbres. Tailler des arbres. Élaguer, étêter des arbres. Avenue d'arbres. Arbres plantés en quinconce. Arbre fruitier. Arbre de plein vent. Arbre en espalier. Arbre en buisson. Arbre nain. Un plant d'arbres.

Arbres verts se dit particulièrement des Arbres qui conservent leurs feuilles toujours vertes, tels que le houx, le sapin, le cyprès, etc.

L'arbre de vie et L'arbre de la science du bien et du mal, Arbres qui, d'après l'Ancien Testament, étaient plantés au milieu du paradis terrestre.

L'arbre de la Croix, La croix où Notre- Seigneur fut attaché.

Arbre de la liberté, Arbre planté sur une place publique comme symbole d'émancipation.

Fig., Arbre généalogique, Figure tracée en forme d'arbre, d'où l'on voit sortir comme d'un tronc diverses branches de consanguinité, de parenté. Faire graver un arbre généalogique.

Fig., Arbre encyclopédique, Tableau systématique des sciences et des arts, disposé de manière à montrer leurs rapports mutuels et leur enchaînement.

Fig., Se tenir au gros de l'arbre, Demeurer attaché à ce qui est le plus ancien ou le plus généralement établi.

Prov. et fig., Entre l'arbre et l'écorce il ne faut pas mettre le doigt, Il ne faut point se mêler dans les débats de famille.

Il se dit aussi de Grosses et longues pièces de bois qui sont les principales pièces dans certaines machines. Arbre de moulin. Arbre d'un pressoir. Arbre d'une grue.

Arbre de meistre, Le grand mât d'un bâtiment à voiles latines. Arbre de trinquet, Mât de misaine.

Il se dit également d'Axes de bois ou de métal. Arbre d'un touret de cordier. Arbre d'un volant de tournebroche, de pendule, etc.

Arbre de couche, Axe horizontal qui sert à la transmission du mouvement dans les machines à vapeur.

Arbre d'une balance, Verge de fer à laquelle est suspendu le fléau d'une balance.

Dictionnaire de L'Académie française 8th Edition © 1932-5

arbre

Arbre, m. penac. Signifie en general toute plante de grosses racines, gros tronc escorçu, eslevée en fueillu et escorçu branchage, Arbor, dont il est fait par Methatese.

Arbre franc, est le contraire de sauvage, comme si l'on disoit apprivoisé, et par culture, ou par enter rendu domestique, Arbor cicurata ac mansuefacta, Car cest adjectif franc importe douceur, gracieuseté, souëfveté, et toute amiableté. Ainsi dit on le fruict franc, comme poires, pommes, noisettes franches, dont le contraire est poires, pommes, noisettes de bois ou sauvages.

Arbre d'estrange païs, Arbor peregrina.

Arbre cultivé, Arbor culta.

Arbre d'une merveilleuse grandeur, Visendae magnitudinis arbor, Procera arbor.

Arbre grand et gros à merveille, Amplissima arbor.

Arbre court et bas, Arbor pumilio, nana. Arbre nain.

Arbre de grande estenduë, Patulis diffusa ramis arbor.

Arbre panché, Arbor incurua, cernua, Les branches duquel tournent la pointe en bas (ainsi qu'on tient que font les arbres où aucun malfaicteur a esté pendu) cuius rami sunt deuexi in stipitem.

Arbre fruictier, Arbor pomifera, Foelix arbor, Frugifera.

Arbre qui ne porte point de fruict, Arbor infoelix.

Arbre qui porte deux fois l'an, Arbor bifera.

Arbre qui porte trois fois l'an, Arbor trifera.

Cest arbre s'en va tout mourant, Arbor haec syderata est, B.

Cest arbre n'est pas bien hyverné, Haec arbor hyeme non alsit, B.

Arbre duquel sortent sourjons, Matrix arbor.

Devenir et croistre en arbre, Arborescere, Assurgere in arborem.

Cest arbre jette hors et degoutte de la poix, Manat picem haec arbor.

Le bas de l'arbre pres de la racine, La jambe de l'arbre, Crus arboris.

Escorcer un arbre, Delibrare.

Arbres qui jettent sur le printemps, Arbores vernantes.

Arbres produisans et jettans rameaux trop abondamment, Luxuriantes arbores.

Oster et coupper les principaux bouts et branches des arbres, afin de les garder de croistre fort haut, et pour les rendre plus larges et espez, Decacuminare.

Les arbres jettent trop grande abondance de branches, Lasciuiunt arbores.

Arbres qui s'abbaissent, s'affaisent et laissent aller, Fluens sylua.

Les arbres portent plus ou moins une année que l'autre, Alternat fertilitas arborum.

Les arbres jettent leurs racines fort avant dedans terre, Descendunt radice arbores.

Planter des arbres pour servir aux vignes en lieu d'eschalas, Arbustare.

Arbres esquelles on lie les vignes, et les fait on monter, Maritae arbores.

Arbres qui n'ont point de vigne plantée au pied, Arbores viduae.

Les jeunes arbres et nouvelles plantes sont mortes de seicheresse ces jours caniculaires, Afflatae sunt sydere arbores.

Arbre qui ne porte plus, tant est vieille, Defecta senio arbor.

Le bois és arbres qui se peut separer par filamens le fendant, Pulpa, pulpae.

Ce qu'és arbres et vignes surmonte en croissant apres avoir couppé une branche en faisant comme un nombril, Suffragines.

Quand il y a peu d'arbres en une place, Raritas arborum.

Plein d'arbres, Syluosus, Arbustiuus locus.

Oiseau qui fait son nid és arbres, Auis arboraria.

Qui est d'arbre, Arboreus.

Fruicts d'arbres, Arborei foetus.

Petit arbre, Arbuscula.

Jean Nicot's Thresor de la langue française © 1606

arbre


ARBRE, s. m. [Prononcez toutes les lettres.] Autrefois on prononçait à la Cour, abre, mabre Vaug. — Plante boiseûse, qui croît en grosseur et en hauteur, plus que toutes les autres plantes, et qui pousse différentes branches. Acad. Le plus grand des végétaux, qui n'a qu'un seul et principal tronc, et qui pousse beaucoup de branches et de feuilles. Trév. Plante qui pousse de grosses racines, une grosse tige et de grosses branches. Rich. Port. La 1re définition est la meilleûre, à mon avis. "Grand arbre, grôs arbre; arbre haut et droit, ou tortu, etc. — Il se dit, par extension, de certaines grosses pièces de bois, qui sont les principales pièces d'une machine. Arbre d'un navire, d'un moulin, d'un pressoir. Acad. Pour les navîres, on dit plutôt mât qu'arbre; et celui-ci est vieux en ce sens. On le dit en Provence, parce que c'est le mot du patois de cette Province. = Figurément, arbre généalogique, figure tracée en forme d'arbre, d'où l'on voit sortir, comme d'un tronc, diverses branches de consanguinité, de parenté. Acad. On dit dans Trévoux, que c'est la description d'une généalogie; mais cette définition est imparfaite, car toute description en ce genre n'est pas un arbre généalogique. — La définition du Rich. Port. est à peu près semblable à celle de l'Acad.
   On dit, dans le style figuré familier, s'atacher ou se tenir au gros de l'arbre, c. à. d. à l'autorité légitime, sur-tout en matière de Religion. C'est le conseil que Quesnel dona à son neveu, à sa dernière maladie: il ne l'avait pas pris pour lui. — Entre l'arbre et l'écorce, il ne faut pas mettre le doigt; c. à. d. se mêler dans les querelles des familles. — Voy. Fourchu.

Jean-François Féraud's Dictionaire critique de la langue française © 1787-1788
Traductions

arbre

Baum, Welletree, shaft, evergreen, arbor, axle, spindleboom, as, spilאילן (ז), עץ (ז), אִילָן, עץboomشجر, شجرة, شَجَرَةдървоarbrestromtræδέντρο, δένδροarboárbol, ejepuuدرختpuuपेड़drvofaarborepohontréalbero木, ツリー構造, 樹木나무arbormediskoksമരംtredrzewo, árvorearbore, copac, pomдеревоstromdrevodrvo, stablo, дрво, стаблоträdmtiต้นไม้ağaçдеревоپیڑcây, 乔木 (aʀbʀ)
nom masculin
plante qui a un tronc et des branches planter un arbre
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arbre

[aʀbʀ] nm
(végétal)tree
(TECHNIQUE)shaft
arbre à cames nm (AUTOMOBILES)camshaft
arbre de Noël nmChristmas tree
arbre de transmission nm (AUTOMOBILES)drive shaft
arbre fruitier nmfruit tree
arbre généalogique nmfamily tree
Collins English/French Electronic Resource. © HarperCollins Publishers 2005