Depuis 2009, la réalisatrice est allée à la rencontre de ceux que l’on ne filme jamais en Afrique, ceux dont on a peur ou honte, ceux qu’on appelle les "fous". Souvent impuissantes face à la maladie, leurs familles cherchent dans toutes les méthodes modernes, traditionnelles ou religieuses une hypothétique guérison.