licol

licol

ou

licou

n.m. [ de lier et de l'anc. fr. col, cou ]
Pièce de harnais que l'on place sur la tête des bêtes de somme pour les attacher, les mener.
Maxipoche 2014 © Larousse 2013

LICOL

(li-kol) s. m.
Voyez LICOU.
Émile Littré's Dictionnaire de la langue française © 1872-1877

licol

LICOL. s. m. Voyez LICOU.

Dictionnaire de L'Académie française 6th Edition © 1835

licol

Licol, m. acut. Est composé d'un corrompu Li pour lie, et d'un entier Col, et se prend pour la corde ou longe, dont on lie le col d'une beste pour la mener, Colli ligaculum, et est sans museliere, soubs-barbe ne testiere, en quoy il differe du chevestre qui est assorti desdictes pieces. On en use toutesfois indifferemment pour Chevestre, Capistrum, mais improprement: Car le Licol proprement prins, ne tient nullement à la teste de la beste qui le porte. Il se prend aussi pour la corde ou cordeau que le Bourreau met au col pour estrangler ceux qui luy sont livrez par Justice pour les pendre, Laqueus.

Le licol d'un cheval, Stabularium vinculum, vel praesepiarium, Habena verticaria. B.

Bailler le licol ou la testiere, Induere habenam verticariam equo. B.

Jean Nicot's Thresor de la langue française © 1606

licol


LICOL, ou LICOU, s. m. Le 1er ne se dit qu'en vers, devant une voyèle, pour éviter l'hiatus. Hors de là on dit toujours licou. Lien, que l' on met autour de la tête des chevaux, mulets, ânes, pour les atacher.

Jean-François Féraud's Dictionaire critique de la langue française © 1787-1788
Traductions

licol

cavezza