hésitation
hésitation
n.f.HÉSITATION
(é-zi-ta-sion ; en vers, de cinq syllabes) s. f.HISTORIQUE
- XVIe s. Ma hesitation [MONT., I, 42]
ÉTYMOLOGIE
- Provenç. heysitacio ; espagn. hesitacion ; ital. esitazione ; du latin haesitationem, de haesitare, hésiter.
hésitation
Il se dit aussi de l'Incertitude dans l'énonciation. Réciter sans hésitation, sans la moindre hésitation. Parler, répondre avec hésitation. Ses fréquentes hésitations fatiguaient l'auditoire.
hésitation
HÉSITATION, s. f. HÉSITER, v. n. [Ézita-cion, ézité: 1reé fer. — Plusieurs aspirent l'h dans ces deux mots, et disent je hésite: elle est muette: on doit dire j'hésite.] Hésiter; être embarrassé à parler, à exprimer ce qu'on veut dire. "Dès le comencement de son discours, la crainte le fit hésiter. "C'est un triste sort que celui d'un Orateur qui hésite. Dans la nécessité de penser toujours à ce qu'il va dire, il ne pense jamais à ce qu'il dit. Le P. Gaichiés. — En ce sens, il s'emploie sans régime. = C'est aussi être incertain sur le parti qu' on doit prendre. "Hésiter dans les afaires. "Il n'y a pas à hésiter. = Il régit à devant les verbes. "Il n'hésita point à répondre. "C'est une erreur de hésiter à prendre parti du côté où il y a le plus d'évidence. BOUH. On voit que ce célèbre Gramairien aspirait l'h d'hésiter. Il faut écrire et prononcer d'hésiter.
HÉSITATION, embarras, incertitude en parlant. "L'hésitation dans un Orateur nuit à l'éfet de son discours.
hésitation
hésitation
hesitation, hesitancyגמגום (ז), היסוס (ז), הירתעות (נ), הססנות (נ), התחבטות (נ), חיישנות (נ), לבטים (ז״ר), פסקנות (נ), פקפוק (ז), רהייה (נ), רתתנות (נ), הִסּוּס, הַסְסָנוּת, הִתְחַבְּטוּת, לְבָטִים, פִּקְפּוּקaarzeling, weifelingesitazione, tentennamentoδιστακτικότητα, ενδοιασμόςZögern猶豫váhánítøven주저tvekanลังเล (ezitasjɔ̃)nom féminin