accolade
accolade
n.f.ACCOLADE
(a-ko-la-d') s. f.HISTORIQUE
- Dans la langue d'oïl on disait non l'accolade, mais plus souvent l'acolée ; elle se donnait avec la main ou avec l'épée sur le chignon du cou, et, par extension, se prenait pour un coup quelconque.
- XIIIe s. L'acolée [de chevalier] [le roi] leur donne, puis les ala baiser [, Berte, 129]
- XVIe s. Lors, que de cheres et grandes accollées [MAROT, II, 174]
ÉTYMOLOGIE
- Accoler.
accolade
Il s'est dit aussi d'Une des principales cérémonies observées dans la réception d'un chevalier, et qui consistait ordinairement à donner trois coups du plat de l'épée sur l'épaule ou sur le cou de celui qu'on armait chevalier, après quoi on l'embrassait. Donner, recevoir l'accolade.
Il se dit, par analogie, d'une Sorte de trait en forme de crochet brisé à son milieu (} ), qui sert, dans l'écriture et l'impression, à embrasser plusieurs objets, soit pour en former un tout, soit pour montrer ce qu'ils ont de commun ou d'analogue entre eux. L'accolade s'emploie souvent dans les comptes, dans la formation des tableaux, etc., et se place, suivant le besoin, horizontalement ou verticalement. Réunir plusieurs articles, plusieurs colonnes par une accolade. On joint par une accolade les portées de toutes les différentes parties d'une pièce de musique.
accolade
ACCOLADE, s. f. [Akolade, tout bref, 4ee muet.] Embrassement, (style familier et badin.) Ils firent de grandes acolades.
accolade
accolade
accolade, bracket, brace, embrace, hugaccolade, omarming, accolade ({}), omhelzing, knuffelהתחבקות (נ), חיבוק (ז), הִתְחַבְּקוּתAkkolade, geschweifte Klammer, Umarmungvinkulocorchete, llave, abrazoaccoladeασπασμός, αγκαλιάabbraccio, graffaحَضَنobjetíknushalauszagrljaj抱きしめること포옹klemuściskabraçoобъятиеkramการกอดkucaklamacái ôm拥抱 (akɔlad)nom féminin