[NEL] **De Britchester à Henford** - màj 8/06/24 - G2/Chap 11

par Nathalie986
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Re: [NEL] **De Britchester à Henford** - màj 8/06/24 - G2/Chap 10

★★ Guide

 

Chapitre 10/ Juliane - L'amour est dans les cœurs


 

Ce matin-là, je me levai aux aurores.

Révélation

C’était une habitude chez moi mais, aujourd’hui, je partais pour Granite Falls avec Louis, et nous avions rendez-vous à six heures.


Le soleil se levait à peine, lorsque nous arrivâmes là-bas. Louis était enchanté par la beauté du lieu.
Il me proposa de monter le campement pendant que j’irais chasser les insectes.


C’était un amour. Courir après les petites bêtes ne l’intéressait pas, mais il ne voulait pas me priver de ce plaisir. Nous avions convenu de nous retrouver pour le repas. 


Lorsque je revins de mon escapade, la tente était en place, et Louis préparait à manger. Ça sentait bon le poisson grillé, et j’avais très faim.


Après le repas, il m’offrit un cadeau. Je me demandai ce qui pouvait se trouver dans cette grosse boîte mais, au fond, il y avait un petit écrin dans lequel était délicatement posée, une bague de fiançailles. Il me demanda de l’épouser. 


J’avais dit oui. Comment refuser une demande aussi joliment amenée. 


Nous passâmes trois jours magnifiques à Granite Falls. Lorsque je n’attrapais pas les insectes, ou que je ne récoltais pas des plantes, nous pêchions souvent ensemble. 


Ces quelques jours nous avaient permis de mieux nous connaître. Je découvris que Louis aimait beaucoup observer le ciel, à différentes heures de la journée. 


La nuit, il observait les étoiles. Je crois qu’il devait connaitre toutes les constellations, par cœur. 


Le dernier soir, j’avais décidé de préparer le repas, mais Louis n’approuva pas le choix des scarabées. Il ne se faisait pas à l’idée de manger des insectes, malgré tout le bien que je lui en dis. 


Heureusement, il avait un plan B : les chamallows.
Nous finîmes la soirée, à rire et à discuter autour du feu de camp. Mon fiancé avait vraiment apprécié son petit séjour avec moi, et il était prêt à remettre ça, quand je voulais.


Nous fîmes nos adieux à notre dernière soirée sur place, puis nous nous endormîmes, au son des insectes. 


Lorsque je revins à la maison, la première chose que je fis, fut de planter la camomille toxique qui manquait à ma collection de plantes médicinales, et que j’avais enfin trouvée. 


La seconde, fut d’annoncer à Papa et Maman, mes fiançailles avec Louis. 


Ils n’en revirent pas. Ils me regardèrent un instant, bouche bée, puis ils me félicitèrent. Ils avaient tous les deux de belles idées pour célébrer notre mariage. 


Nous nous mariâmes, un beau jour d’été, en petit comité, dans le jardin de notre maison. Papa nous avait fabriqué la plus belle arche qui soit, et l’avait agrémentée de feuillages. Maman nous avait préparé de jolis bouquets pour fleurir le décor. 


Nous nous dîmes oui, sous le regard ému de mes parents. 

 




Nous étions heureux, mais il me semblait que Papa et Maman l’étaient encore plus que nous. 


Papa se sentit envahir par l’ambiance, et nous récita même un poème qu’il avait écrit, et dédié à Maman, lorsqu’il était étudiant.


Je crois que ça lui faisait plaisir de voir que sa petite fille avait trouvé le grand amour. 


Il avait l’air tellement fier de moi, et j’adorais lorsqu’il me regardait avec ses yeux de père aimant. 


Il mit de la musique, puis il m’invita à danser, en me redisant à quel point il était heureux de me voir aussi épanouie et rayonnante, auprès de Louis. 


Il entraîna ensuite Maman sur la piste ; mon mari m’invita à son tour. Nous passâmes une belle soirée. 


Lorsque Papa et Maman allèrent se coucher, nous rejoignîmes notre chambre à la belle étoile. Nous nous installâmes auprès du feu. Louis sortit sa guitare et me chanta quelques chansons d’amour de son répertoire. 


Et comme nous étions des jeunes mariés, nous eûmes aussi, une nuit de noces. 


Louis s’adapta très bien à notre vie en communauté. Il participait à toutes les tâches, et Papa lui apprenait les rudiments de la machine à fabriquer. 


Cela n’a pas été sans mal, au début, mais il s’en sort plutôt bien, aujourd’hui. 


Ce jour-là, il était venu m’aider à vendre mes remèdes, et j’avoue que nous avons formé une équipe de choc. 


Nous avions réussi à écouler tout le stock que j’avais présenté, en très peu de temps. Juste après le départ du dernier client, je me sentis prise de nausée. Louis s’inquiéta :
- Qu’est-ce qu’il y a ? Tu es toute pâle. J’espère que tu n’as pas attrapé une insolation...
- Non, c’est autre chose. Va t’asseoir, je reviens tout de suite.


J’avais eu les mêmes symptômes dans la semaine, et j’étais passée à la pharmacie pour acheter un test de grossesse. Il confirma mes soupçons. J’étais enceinte. 


Louis n’eut pas longtemps à attendre mon retour. Lorsque je lui expliquai ce que j’avais, il ne tint plus en place.
- Viens, on va tout de suite l’annoncer à tes parents !


Papa et maman étaient fous de joie. Papa faisait déjà des projets, et Maman rayonnait. L’idée qu’un bébé serait bientôt dans la maison, les transportait d’allégresse.

 

A suivre... 🙂

 

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★★ Guide

 

Chapitre 11/ Juliane - La relève


 

Ce jour-là, je récoltai, pour la première fois, du miel dans notre ruche. J’étais en pleine forme. Avec le deuxième trimestre de ma grossesse, toutes les nausées s’étaient envolées et je me sentais beaucoup mieux.

Révélation

Maman s’était remise à tricoter de plus belle, pour faire une grenouillère au bébé à venir.
- Tu sais si c’est un garçon ou une fille ?
- Je ne sais pas, mon chéri. Louis et Juliane veulent avoir la surprise.


Malgré ma grossesse, et au grand dam de Louis, je continuais à me rendre à Evergreen Harbor pour fouiller la benne de Port Promise. Il tenait absolument à m’accompagner, au cas où je tomberai dedans, et que je n’arriverais pas à en ressortir.
- Laisse-moi y aller à ta place.
- Je préfère le faire moi-même. J’ai plus l’habitude.
- Mais tu as vu la gymnastique que tu es obligée de faire, dans ton état...


Il n’avait pas tort. Je me rendais bien compte que ça devenait de plus en plus compliqué, mais tant que je pourrais le faire, je le ferai. Malgré tout, j’appréciais beaucoup la façon dont Louis prenait soin de moi.


Notre petite vie à quatre s’organisait bien, et Louis avait définitivement conquis mes parents, tout comme il était conquis par leur gentillesse.


Chaque soir, nous avions pris l’habitude de nous retrouver pour partager une partie de cartes. Nous étions une vraie famille.


Ce matin-là, Papa et moi travaillions au jardin. Il faisait très beau, et encore très chaud. Il m’avait fait un beau sourire, en me disant que la grossesse m’allait à ravir, puis il s’était dirigé vers le verger, pour s’occuper des ananas.


Lorsque j’arrivai à sa hauteur, je le découvris, allongé entre les arbres.


Personne ne se rendit compte de rien. Maman tricotait à l’intérieur.


Et Louis avait joyeusement fertilisé le buisson.


J’étais donc toute seule, lorsque la Faucheuse approcha pour prendre l’âme de Papa.


Maman ne se remettait pas de sa mort. Elle erra, comme une âme en peine, pendant des jours, et ne cessait de pleurer.


Un jour, elle s’arrêta, mais elle passait son temps, assise près de la tombe de mon père, si triste que je ne savais plus quoi faire pour la soulager. Elle m’inquiétait beaucoup.


C’est Louis qui me conseilla de lui donner un de ces remèdes contre la tristesse, que je vendais si bien à mes clients. Je ne sais même pas pourquoi je n’y avais pas pensé avant.
Il avait fallu que j’en refasse, car je n’en avais plus en stock.


Louis évacuait sa peine dans la musique, certes tristounette, en ces temps de deuil, et je me rendis compte que fabriquer mes onguents, était un bon exutoire à mon chagrin. Je décidais de fabriquer un remède pour chacun d’entre nous.


Louis et moi appliquâmes la pommade, mais Maman refusait de s’en servir. Elle disait qu’elle ne voulait pas oublier Papa. Alors, je revenais à la charge, régulièrement, pour qu’elle entende raison.
- Tune l’oublieras pas. Je ne l’ai pas oublié, moi, et pourtant, j’ai pris le remède. Ton chagrin sera toujours là, mais cela te permettra de te sentir mieux. Maman... s’il-te-plait... Fais-le pour moi.


Elle finit par m’écouter, se saisit de l’onguent et l’étala sur son bras.


Quelques jours plus tard, et après une nouvelle application, elle laissa Papa s’en aller.


Deux mois et demi plus tard, la vie dans notre maisonnée, reprit un cours normal. Papa nous manquait, bien sûr, mais nous arrivions à faire face.
J’étais à mon huitième mois de grossesse, et j’étais toujours en forme.


Maman aussi, allait beaucoup mieux. Elle s’était remise à tricoter et ne parlait que de son futur petit-enfant. Je crois que c’est cela qui la faisait tenir.
- Qu’est-ce que tu fais, ma chérie ?
- Je me lance dans les conserves. Louis m’a donné les vieilles recettes de sa grand-mère.
- Oh, mais c’est une très bonne idée !


- Oui, dans sa famille, ils préparaient toujours des conserves en prévision d’hivers trop rigoureux. Ça nous évitera de galérer, si plus rien ne sort de terre, cet hiver.


Le lendemain, Maman vint m’offrir les grenouillères qu’elle avait finalement achevées. Elle en avait fait deux : une rose et une bleue. Elle avait envisagé toutes les solutions.
J’étais tellement heureuse de la voir retrouver le sourire.


- Tu sais ce qui allège ma peine ? me demanda-t-elle sans vraiment attendre de réponse, ton père est parti au milieu de son jardin. Il aimait tellement son jardin. Je suis sûre qu’il est heureux, là où il est.


- J’en suis certaine, Maman.


Louis et moi avions décidé d’emmener Maman camper, quelques jours, à Granite Falls, avec nous. Le temps s’t prêtait, et nous avions tous besoin de changer un peu d’air.


Sa rencontre avec Sophie, mon amie l’ermite, lui fut très bénéfique. 


Elle resta avec elle, de longues heures, à l’écouter parler du bienfait des plantes, et de leur pouvoir guérisseur, pendant que Louis pêchait et que j’allais à la chasse aux scarabées. 

 

 


Cet été-là, j’avais initié Louis à pister et attraper les insectes. 


Il fut un peu réticent, au début, préférant se tenir à distance raisonnable de ces petites bêtes inoffensives, mais, petit à petit, il s’approcha et observa avec grand intérêt, la façon dont je m’y prenais. 


A la fin de notre séjour, il finit, lui aussi par se prendre au jeu, et captura avec succès, quelques magnifiques lucioles. 


Quelques jours après notre retour à la maison, Louis fêta ses quarante ans. Maman avait tenu à préparer, elle-même, le gâteau pour cette occasion. 


La semaine prochaine, ce serait à moi de souffler mes bougies, et j’espérais de tout cœur que notre bébé vienne au monde, avant cela.


Maman s’était mise dans la tête de m’apprendre à tricoter. Je n’osais pas le lui dire, pour ne pas la froisser, alors que je savais que cela la rendait heureuse, mais je n’étais pas du tout passionnée par cette discipline manuelle. Je préférais, de loin, le point de croix. 


Heureusement, ce jour-là, j’échappai à son cours, car un petit être décida que le moment était venu, de pointer le bout de son nez.


Je mis au monde une petite fille que nous appelâmes Phoebe.

 

A suivre... 🙂

 

 

Bonus :

Révélation

Petit poisson sera éternel. Merci Louis.😅

 

 

 

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Re: [NEL] **De Britchester à Henford** - màj 8/06/24 - G2/Chap 12

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Chapitre12/ Juliane - Dans les yeux d'une bambinette


 

Maman s’éteignit un beau jour d’automne. Elle avait vécu heureuse, entourée de sa famille, jusqu’à la fin, et avait pu profiter pleinement de la joie d’être grand-mère.

Révélation

Elle avait même goûté au bonheur d’être draguée, alors que nous nous étions rendues, toutes les deux, à la foire de Finchwich, un samedi après-midi. Maman n’avait pas donné suite aux avances du charmant monsieur, mais elle m’avait avoué s’être sentie à nouveau belle et désirable, malgré tout. 


Phoebe était une petite fille épanouie qui adorait courir partout dans la maison, ou dans le jardin. Elle y cueillait des fleurs qu’elle allait ensuite donner fièrement à sa mamie, pour qu’elle fasse de jolis bouquets pour décorer la maison. 


Et Maman n’avait pas été avare de cadeaux. Nous lui devions le magnifique toboggan qui avait trouvé sa place sur notre terrain, et qui avait fait de notre fille, la plus heureuse fillette du quartier. 


Phoebe n’avait pas été avare de câlins pour la remercier. 


Maman lui avait également offert un jouet qu’elle avait tricoté spécialement pour elle. Elle l’avait emballé, à la manière des poupées russes, si bien que notre bambinette avait dû ouvrir plusieurs boîtes avant de trouver son cadeau. Elle avait trouvé ça très drôle. 


La petite poupée de tricot, de sa Mamie, ne la quittait plus. Elle en avait fait son jouet préféré, et elle ne l’abandonnait que lorsque Maman lui proposait une partie de toboggan, ou qu’elle acceptait de jouer aux princesses, avec sa petite fille 

 


Nous avions fêté mes quarante ans quelques jours avant de partir à Granite Falls. 


Maman avait été très enthousiaste à l’idée de ces petites vacances en famille. 


Phoebe avait beaucoup aimé son séjour à Granite Falls. Elle m’avait suivi partout, ramassant chaque bout de papier ou détritus qu’elle trouvait en chemin, pour les jeter dans la poubelle la plus proche. Mais ce qui l’intriguait le plus, c’était de me voir attraper des insectes. 


Phoebe était une enfant qui s’intéressait sincèrement à tout ce qu’elle voyait, et qu’elle ne connaissait pas. Elle avait même trouvé le moyen de lier une amitié, avec un ours, ce que je n’aurais jamais fait, croyez-moi. Chaque jour à Granite Falls, avait été pour elle, une aventure.


Pendant que notre fille allait de découvertes en découvertes, à mes côtés, Louis avait retrouvé son passe-temps favori en pêchant, et Maman tricotait tranquillement au campement, après avoir fait sa marche quotidienne dans la forêt. 

 


Nous nous retrouvions tous les soirs pour déguster le poisson du jour, fièrement ramené par mon mari, puis nous discutions quelques heures autour du feu de camp. Phoebe s’endormait très tôt, épuisée par ses journées à gambader, nous laissant entre adultes pour profiter de la sérénité de la nuit tombée. 


Le lendemain, c’était reparti pour une nouvelle exploration. Phoebe était tombée sous le charme des feux-follets qu’elle avait trouvés « crô beaux ! ». 


Elle m’avait encouragée à attraper un phasme qui avait bien failli m’échapper. 


Et c’est aussi à Granite Falls, que ma fille eut la chance, alors que l’hiver n’avait pas encore pointé le bout de son nez, de voir sa première neige tomber. Je dois dire que j’étais secrètement fière qu’elle soit aussi enjouée face à toutes ces merveilles de la nature. Elles nous offraient tant de beauté. 


Malheureusement, la neige à Granite Falls, j’avais déjà donné, et je savais que la situation pourrait devenir bien rude, pour une bambinette, et une personne de l’âge de Maman. 


Nous étions donc tous mis d’accord pour lever le camp, et rentrer à Glimmerbrook. 


Maman décéda peu de temps après notre retour. Nous l’enterrâmes auprès de Papa, et eûmes beaucoup de mal à faire notre deuil, mais aujourd’hui, nous y sommes parvenus. 


Phoebe s’est remise à jouer de bon cœur, et à nettoyer tout ce qui se trouvait sur notre passage, lorsque nous partions en promenade. 


Malgré tout, depuis le décès de Maman, nous avions observé, Louis et moi, que notre fille avait développé un caractère de cochon. Il pouvait lui arriver de piquer des colères pour peu de choses. Le médecin nous avait dit de lui laisser le temps. Alors, quand elle râlait, avec les larmes aux yeux, parce que le tas de feuilles que je faisais n’était pas assez grand, je lui faisais plaisir. 


Et mon cœur de Maman était gonflé de joie et d’amour, d’avoir pu la faire sourire à nouveau. 


Mais nous ne pouvions pas toujours accéder à ses caprices. Cette fois-là, elle avait eu une saute d’humeur, à se rouler par terre, car elle voulait absolument jouer avec la machine à fabriquer. Pour sa sécurité, Louis n’avait pu l’y autoriser, mais il avait trouvé une parade qui avait apaisé, et le père, et la fille. Louis lui avait montré, une par une, toutes les icônes dont il se servait pour fabriquer des meubles, ou de pièces écologiques.
Phoebe avait écouté, fascinée par les couleurs qui apparaissaient sur l’interface de la machine, puis elle lui avait donné un nom : Ecolia. Parce que Louis lui avait beaucoup parlé d’écologie.
Je crois que Papa aurait été heureux d’entendre ça.


Après cet incident, nous n’avons plus jamais eu à combattre les fantaisies de notre fille, enfin... sauf celles inhérentes à son âge, bien sûr. Elle reprit goût à courir partout, même sous la pluie, à sauter dans les flaques, et s’éclabousser en riant. C’était tellement amusant pour elle, et tellement rassurant pour nous. 


Je l’avais même surprise, à raconter des blagues à notre lama. La vie avait repris ses droits. 


Un matin, de bonne heure, alors que je m’activais au jardin, Louis vint me chercher, complètement désopilé d’avoir trouvé l’interface d’Ecolia, brisée.
En y regardant de plus près, il me sembla apercevoir un message, à peine lisible sur la vitre... « Je t’aime... ». Sûrement un vieux message de mon père à ma mère...


J’entrepris de réparer immédiatement la machine à fabriquer, qui comptait autant pour Louis, qu’elle avait, en son temps, compté pour mon père. 


Nous n’avons jamais su ce qui avait pu provoquer ces dégâts. Heureusement, ils étaient facilement réparables. Cela restera sans doute un mystère...

 

A suivre... 🙂

 

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Re: [NEL] **De Britchester à Henford** - màj 8/06/24 - G2/Chap 12

★★★ Novice

Contente de revoir l'histoire de ta petite famille "nature "par ici; tu as donc l'intention de continuer le challenge?
J'aimerais bien aussi reprendre ma partie "Nature et libertés" un de ces jours!

Message 14 sur 15 (158 visites)

Re: [NEL] **De Britchester à Henford** - màj 8/06/24 - G2/Chap 12

★★ Guide
@Elinoee Coucou ! Oui, j'envisage sérieusement de le continuer. J'aime beaucoup ce challenge, et j'aime beaucoup cette partie, alors, oui, il va y avoir une suite à cette histoire. Ce sera sur le nouveau forum 😊😘
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