SummaryAs West Yorkshire police sergeant Catherine Cawood (Sarah Lancashire) works on a kidnapping case, she spots Tommy Lee Royce (James Norton), the man she believes drove her daughter to commit suicide, in town.
SummaryAs West Yorkshire police sergeant Catherine Cawood (Sarah Lancashire) works on a kidnapping case, she spots Tommy Lee Royce (James Norton), the man she believes drove her daughter to commit suicide, in town.
It's a profound look at family, morality, and the harshness of life. We've waited seven years for it to arrive, and every single second was worth the wait.
Une première saison qui peut se suffire à elle-même en attendant de voir si les auteurs sauront (ou non) capitaliser sur la suite. En tout cas, on tient là un mélange curieux et détonnant entre une série policière menée tambour battant et un épouvantable psychodrame familial…
Un psychodrame particulièrement carabiné qui en rajoute couche après couche, reléguant les Misérables (nos Misérables franco-français de Victor Hugo, re-raconté, ré-adapté maintes et maintes fois au cinéma et à la télé) au rang de bluette assez anecdotique… ou presque ! Quoiqu’il y eut Oliver Twist outre-manche et nul doute que ‘Happy Valley’ en soit un hommage moderne quelque part, avec à la place d’Oliver, cette femme flic victime de la vie et de tous les maux et malheurs qu’il est possible de concevoir…
Nonobstant ces épanchements, on se doit de saluer la façon dont ils sont si justement racontés : l’écriture est vraiment remarquable et servie par une actrice principale épatante, tout aussi bien entourée d’ailleurs ; de même la réalisation est soignée et assurément toujours efficace.
La seconde saison reste en tout cas du même tonneau que la première et rajoute quelques histoires secondaires fort intéressantes, de même que la troisième (et ultime) saison, laquelle conclut brillamment ce polar à la fois social et criminel…
Encore des épanchements ici et là bien évidemment (le gamin est un brin énervant aussi), quelques coups de théâtre… et accessoirement un certain féminisme, ma foi… mais bien fait et tout à fait justifié ; on remarquera également que la série n’hésite pas à épingler les faiblesses de la ‘justice’ (c’est un peu comme chez nous mais pas totalement, car aucun système judiciaire n’est aussi bisounours et nul à chier que le système français, bien entendu !).
Même si dans la cambrousse de nos amis rosbifs, les flics ne portent jamais d’armes à feu, ce qui ne laisse pas d’étonner… comme leurs énormes gilets jaunes fluorescents ! une série dramatique émouvante certes mais qui sait garder le rythme et parvient à rester réaliste malgré des rebondissements (dramatico-dramatiques)… un peu exagérés ! l’épilogue est aussi… un peu court. Mais rien d’alarmant, c’est du beau travail.
Happy Valley is so effective at what it sets out to do, and so neat in fitting all its pieces together (up to the way the story's climax evokes a much milder incident from early in the series), that I'm a bit ambivalent about the fact that a second season has already been ordered. Lancashire is so good that I won't necessarily mind getting to watch more of her in this role, but this particular story is so unique to her in a way that no sequel season can be.
Catherine's "patch" in Happy Valley may be more limited than the big chunks of Baltimore covered by Bunk and McNulty, but morally and emotionally, this fantastic drama goes deep.
Currently watching Happy Valley, I'm on Episode 4, Season 1.
Im particularly interested in the depiction of Yorkshire locals in the program. The presentation of female police officers and grief are focal to the plot.