SummaryIn 2200, private detective Aline Ruby and her android partner Carlos Rivera are hired by a wealthy businessman to track down a notorious hacker. On Mars, they descend deep into the underbelly of the planet’s capital city where they uncover a darker story of brain farms, corruption, and a missing girl who holds a secret about the robots ...
SummaryIn 2200, private detective Aline Ruby and her android partner Carlos Rivera are hired by a wealthy businessman to track down a notorious hacker. On Mars, they descend deep into the underbelly of the planet’s capital city where they uncover a darker story of brain farms, corruption, and a missing girl who holds a secret about the robots ...
Mars Express is the rare example of an animated feature that warrants an almost immediate rewatch upon completion, if only to appreciate the craftsmanship of its presentation. It’s a densely layered sci-fi story that’s light on proper nouns, but heavy on subtext.
A gripping, heady and refreshing 2D animated take on the perils of man and machine coexisting, Périn’s first feature as a director inserts the necessary exposition in a mostly natural manner so we incrementally become aware of how this reality functions.
Mars Express finds deeper truths that are as tragic as they are transcendent. This makes it a sci-fi tapestry not just worth getting lost in, but one that is deeply human as well. What a painful joy it is.
The noir thriller takes us on a contemplative tour of a thoughtfully considered future, where traveling between Lunar and Martian colonies is as easy as flight today.
Mars Express may have benefited from the luxury of being able to slow down (this story could have easily sustained a 13 or 26-episode anime season), but Périn makes the most of its propulsiveness, as this eye-popping movie launches toward a future where tech might be liberated from the people who created it.
This was neither as bad as I thought it would be nor as good as advertised. I was bummed at the ending. Since I like science fiction and mystery this was a pleasant watch. We'd rate it: "watch it, you'll probably like it."
Não há dúvidas de que é uma animação muito bonita de assistir, até mesmo a paleta de cores casa muito bem com a proposta futurista dark, assim como as cenas de ação bem produzidas. No entanto, confesso que o roteiro não me agradou, tanto o excesso de personagens como o miolo todo: o final se basta como trama independentemente de toda a correria que o filme apresentou, ficando tudo muito gratuito.
Voici un dessin animé très inspiré des animés japonais, notamment des ‘Ghost in the Shell’ typiquement cyberpunkés ! la réalisation est très soignée et les environnements qui mélangent 2d et 3d sont bien rendus. On ne peut en dire autant des personnages en grossière 2d 4 couleurs assez bâclés pour leur part, mais bon, il aurait fallu tout faire en images de synthèse !
Ce n’est bien sûr pas le cas ici mais l’animation n’est pas si mal, tout compte fait. La musique est bien sympathique aussi et l’espèce d’enquête policière intrigue certainement, du moins au début ou pendant un certain temps… avant de finalement s’épuiser et faire pschiiiit avec cette fin percluse de clichés éculés et navrants.
Le gros problème rapidement très envahissant concerne la propagande woke qui s’incruste dans tous les personnages du film avec bien entendu cette justice sociale permanente et ces revendications maladroites à deux balles, très typiques de la wokerie **** conséquence de quoi, la diversité oblgatoire est très envahissante, de même que le comportement des personnages féminins (nombreux) mais pas féminins pour un sou.
On se demande si ce sont des filles en fait ! et la réponse est tout simplement la propagande LGBT transgenre et patati et patata (et patatrac !). Le fait par exemple que la seule vraie fille normale soit un ‘sexbot’ en dit long… (mais elle a une corne sur le front… ne me demandez pas ce qu’elle en fait, je ne veux pas le savoir !).
Parallèlement, les hommes sont efféminés, stupides ou mis en retrait, ou bien bêtement méchants ou alors… ce sont des traîtres ! On note également dans cette fumisterie de film quelques agendas de misère psycho-sociale et des droits revendiqués pour les minorités et/ou les différences : sauvez les robots, libérez-les, salauds de mâles blancs (ou ce qu’il en reste) esclavagistes !!
Bref, tout est gâché par le wokisme dans ce film, hélas ! et du coup, la note finale s’en ressent : c’est 2.
Production Company
Everybody on the Deck,
Je Suis Bien Content,
Ev.L Prod,
Plume Finance,
France 3 Cinéma,
Shine Conseils,
Géb��ka Films,
Amopix,
Canal+,
Ciné+,
France Télévisions,
Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC),
Région Réunion,
Pictanovo,
Région Hauts-de-France,
Région Grand Est,
Eurométropole de Strasbourg,
Région Nouvelle-Aquitaine,
Magelis,
Département de la Charente,
Société des Producteurs de Cinéma et de Télévision (Procirep),
Agence Nationale de Gestion des Oeuvres Audiovisuelles (ANGOA),
Society of Authors, Composers and Publishers of Music (SACEM)