SummaryThis 1953 classic portrays the loves, hopes and dreams of the soldiers in a close-knit Army barracks in Hawaii shortly before the attack on Pearl Harbor.
SummaryThis 1953 classic portrays the loves, hopes and dreams of the soldiers in a close-knit Army barracks in Hawaii shortly before the attack on Pearl Harbor.
An outstanding motion picture...It’s still raw, tough dramatic stuff of great entertainment pull for adult ticket buyers. Only a few will find it too strong for their effete tastes. Importantly, the distaffers will like it.
The film is anonymously directed, functionally paced and hysterical at times, though it seduces as a hot-blooded spectacle that stitches emotional detail onto the epic canvas of history.
The film tells a compelling story with many of the elements that audiences find appealing. However, 65 years later, there’s little about From Here to Eternity to differentiate it from other well-made productions of its era.
Enduring landmark Hollywood classic. Seen this **** a couple of times over the years. Still stirring, with unforgettable iconic scenes and characters. Strong performances from the whole cast propel this anti war tale. LANCASTER, KERR, SINATRA, CLIFT, BORGNINE, REED - Their charismatic interplay is so good, it helps to outweigh some of of the few lulls ( ie, the watered down soap operish story lines )
Pendant à peu près une demi-heure ou presque, j'y ai presque cru et d'autant plus que cette forte tête qui en prend pour son grade avec son air benêt de faux premier de la classe, en prend plein la gueule en corvées, brimades et harcèlement de la part des sous-offs et autres crevards pas très futés du ciboulot...
Parce que comme ça, il veut pas boxer pour le régiment, ce cabochard ? tête de lard, va ! tu vas voir ce que tu vas voir, tu me feras du parcours à en crever la gueule ouverte !! (ah mais je m'égare, ça c'est plutôt Full Metal Jacket avec le super sergent-instructeur qui ne quitte jamais son chapeau...). M'enfin bref, vous voyez le tableau de l'homme seul obstiné contre toute sa section, gradés y compris, surtout les gradés en fait... Puis, hélas, le film s'effrite sensiblement puis très maladroitement comme tous ces films des années 50 si maldroits mais aussi beaucoup trop longs pour ce qu'ils ont à dire ou à raconter... Que de longueurs donc, que de mollesses ici et là, et là aussi... le film n'en finit pas...! et que de niaiserie également avec ces andouilles et leurs poules malgré la bêcheuse Deborah, laquelle est juste aigrie parce qu'elle voulait pondre, voyez-vous ça ! j'ai cru un instant qu'on avait une féministe sur les bras... mais non, c'est juste une conne.
Et Sinatra le couineur gueulard pleurnichard casse-couilles (et mafioso) qui se prend pour un acteur... nan mais t'as vu jouer ça où ? il est insupportable de bêtise ici ! De toute façon, plus on avance, plus le film se perd dans ses incohérences jusqu'à sa fin carrément stupide... On se demande des fois si c'est pas du troisième ou quatrième degré en fait... c'est une sorte de comédie, c'est ça...